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Chers parents, chères familles, chers enseignants et à tous ceux qui nous suivent et nous soutiennent merci !
Cette année le site Internet des Mamans Louves fait peau neuve, volonté d’être toujours plus efficaces dans la diffusion de l’information.
Plus de clarté, de la nouveauté, c’est pour vous que notre merveilleuse équipe web a travaillé, afin de rendre agréable votre navigation !
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L'équipe des Mamans Louves 🤜🏼💜🤛🏼.

L’EDUCATION A LA SEXUALITE A L’ECOLE : de graves dérives qui entravent la santé des enfants

Contexte


 

L’éducation à la sexualité dispensée dans les établissements scolaires est une obligation légale fixée par la loi du 4 juillet 2001 et décrite comme la priorité du Ministre de l’Éducation Nationale Monsieur Pap Ndiaye.
 
Si cette éducation peut présenter un intérêt pour les enfants dans le cadre de la prévention et la lutte contre les violences sexuelles, ainsi que la lutte contre les discriminations, elle présente aussi un risque conséquent pour le respect de leur intérêt supérieur.
Nous recevons de plus en plus de témoignages de parents dont les enfants ont été traumatisés lors de la participation à des cours d’éducation à la sexualité en milieu scolaire et nous souhaitons alerter les Représentants des Parents d’Elèves, pour inviter les parents à la plus grande vigilance.

Avis des professionnels de l’enfance

Des professionnels de l’enfance et/ou du psychotraumatisme, pédopsychiatres, psychiatres, psychologues, médecins, pédiatres, psychanalystes d’enfants, psychothérapeutes, éducateurs, travailleurs sociaux, infirmières, enseignants dénoncent depuis 2017 la dangerosité de cette éducation à la sexualité et expliquent que la rencontre précoce de l’enfant avec la sexualité adulte ou conçue par des adultes peut être fortement traumatique et va à l’encontre du respect de son rythme affectif et cognitif, de sa croissance psychique et de sa maturation.
La notion de minorité sexuelle légale située avant 15 ans correspond d’ailleurs à la reconnaissance de ce danger.
Nous vous avons extrait quelques-unes de leurs explications et vous invitons à découvrir la pétition qu’ils ont édité ici :

http://petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2017N49527

Et poursuivre en détail leurs alertes ici :

https://proscontreeducsex.wordpress.com

L’enfant, pour se construire et s’organiser psychiquement, a besoin que la différence des générations soit posée clairement au travers d’interdits. Or quand un adulte, qui plus est en situation d’autorité, parle à un enfant de sexualité en dehors de toute demande de sa part, l’intrusion qu’il réalise dans la vie psychique a une tonalité incestueuse : l’adulte mêle l’enfant à ses propres pensées sur le sexe et il est alors dans le registre de la séduction et non de l’information. 
Notre société a le devoir de réfréner les pulsions sexuelles et agressives de l’enfant par l’éducation, et non d’autoriser et de stimuler leur déploiement par un quelconque mode éducatif. Le rôle de l’Etat est-il de promouvoir l’excitation, d’apporter à chaque individu toujours plus de revendications à la « jouissance » sans limite 
Et est-ce le rôle de l’Etat de s’immiscer dans la sphère intime des familles, des enfants et des adultes, par le traitement de questions d’ordre privé, car on peut difficilement nier que les questions de sexualité sont du domaine du privé, non seulement des adultes mais aussi des enfants ? 
Enfin le rôle de l’Etat n’est pas de venir entraver les constructions identitaires familiales sur lesquelles l’enfant doit pouvoir s’appuyer dans le respect du processus de filiation et de transmission intergénérationnelle. Lutter contre les inégalités homme-femme et contre les discriminations dont une personne peut faire l’objet à cause de ses choix sexuels n’a rien à voir avec la théorie du genre qui affirme que notre identité sexuelle est une construction sociale qu’il faut déconstruire. Nous soulignons ici la confusion volontairement établie entre l’égalité (de droit) et l’identique.

Comment est encadrée l’éducation à la sexualité ?

En 2003 , la circulaire n° 2003-027 du Ministère de l’Education Nationale, prévoyait que « La mise en œuvre de l’éducation à la sexualité dans le cadre des enseignements, doit se réaliser avec le tact qui s’impose (…) ».
La circulaire n° 2018-111 de 2018 (dite « circulaire Blanquer ») annule et remplace la circulaire de 2003 et précise que «(..)l’éducation nationale et l’ensemble de ses personnels agissent, en la matière, dans le plus grand respect des consciences et fait preuve d’une grande vigilance pour que les enseignements soient pleinement adaptés à l’âge des enfants. Cette éducation vise à la connaissance, au respect de soi, de son corps et au respect d’autrui, sans dimension sexuelle stricto sensu à l’école élémentaire. Elle est complétée, à l’adolescence, par une compréhension de la sexualité et des comportements sexuels dans le respect de l’autre et de son corps. L’enfance et l’intimité sont pleinement respectées. »
Si ces circulaires semblent présenter un cadre qui délimite les principes des interventions réalisées en milieu scolaire, nous en observons toutefois des limites et constatons plusieurs problématiques qui laissent place à des dérives.
En effet, la circulaire de 2018, bien qu’elle établisse des « règles » telles que citées plus haut, ne propose pas de programme explicite ; des « supports » sont proposés aux équipes pédagogiques, mais rien ne garantit l’adaptation des interventions auprès des enfants, selon leur âge et leur sensibilité. De plus, nous nous interrogeons sur l’évaluation de ces contenus par des professionnels de la psychologie de l’enfant avant leur utilisation dans les établissements scolaires.
Comme l’avoue le ministère lui-même, le personnel éducatif manquant de formation, il nous semble indispensable de s’assurer que les intervenants soient qualifiés pour aborder une éducation aussi délicate et éviter que certains adultes n’abordent crûment des notions sexuelles stricto sensu traumatisantes et inadaptées.
Enfin, il est énoncé dans la circulaire de 2018 que les parents soient informés et/ou associés à la mise en œuvre de ces cours dès la rentrée scolaire et qu’ils doivent s’exercer de manière respectueuse sans devancer le questionnement des enfants ; or, les parents sont rarement prévenus de la date de réalisation de ces interventions.

Il est donc de notre devoir de parents de rappeler cette nécessité aux établissements et de veiller à ce que nos enfants soient pleinement préservés.

1 – Imprimez vos flyers disponibles ici

Objectif de l’action : Sensibiliser et informer les parents

2 – Envoyez le courrier de sensibilisation sur les dérives et rappel des circulaires aux :

Directeurs d’établissements :

Représentants de Parents d’Elèves :

 
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